Manger ou être mangé. Il est loin le temps où cet adage s’appliquait à une espèce humaine en sursis. Aujourd’hui, que ce soit pour des raisons économiques, éthiques ou autres, l’idée s’impose de préserver son environnement de la surexploitation des sols, de la destruction des espèces ou des milieux et des pollutions rémanentes… quand les moyens existent, ce qui n’est pas toujours le cas dans une économie mondialisée, et sauver le monde apparaît de moins en moins simpl(iste).
Les femmes, à la fois à cause de leur production prépondérante du travail domestique (partout dans le monde) et du changement qu’elles impriment dans les sociétés en accédant au travail rémunéré, pourraient être l’une des clés du succès, ou non, du développement durable.
Chaque mangeur étant également un consommateur et un citoyen, le privé sera toujours politique en la matière et vice versa. Plats du jour d’une planète frémissante, en transition.
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