Les Afghanes peuvent de nouveau avorter jusqu'au troisième mois de leur grossesse, si leur vie est en danger ; après ce délai, elles entrent dans la clandestinité, risquant six mois de prison. Les femmes concernées doivent obtenir les certificats de trois médecins différents et une autorisation ministérielle pour se présenter à l'hôpital en vue d'une IVG. Les talibans, au pouvoir de 1996 à 2001, avaient interdit toute forme d'avortement comme contraire à la loi islamique.
A ce jour, il est à noter que l'Afghanistan est, avec la Sierra Leone, le pays où les femmes meurent le plus pendant leur grossesse ou l'accouchement, avec un taux de 17 cas pour mille, selon l'OMS.
Afghanistan : retour à l'IVG
Publié le 13/01/2002
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Le Quotidien du Mdecin
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Source : lequotidiendumedecin.fr: 7043
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