Les médecins généralistes initient le traitement dans 81% des cas, les urologues dans 10% des cas. Celui-ci est médical dans 94% des cas et chirurgical dans 5% des cas.
La monothérapie est prescrite en première intention dans 91% des cas ; les changements de classe thérapeutique à 1 an seraient le reflet d’une expression différente du besoin de changement par le patient. Selon les classes :
- alpha-bloquants : 60% prescrits par le généraliste, 67% par l’urologue (changement de classe à un an : 2,57 %);
- phytothérapie : 31% par le généraliste, 24% par l’urologue (changement de classe à un an : 4,17 %);
- inhibiteurs 5 alpha réductase : 7,97 % par le généraliste, 8,94% par l’urologue (changement de classe à un an : 4,52 %).
Pause exceptionnelle de votre newsletter
En cuisine avec le Dr Dominique Dupagne
[VIDÉO] Recette d'été : la chakchouka
Florie Sullerot, présidente de l’Isnar-IMG : « Il y a encore beaucoup de zones de flou dans cette maquette de médecine générale »
Covid : un autre virus et la génétique pourraient expliquer des différences immunitaires, selon une étude publiée dans Nature