On connaîtra mon nom et mon visage ce lundi à 11 h 30. Comme tous les ans, j’ouvre le bal mais quatre « avatars » vont suivre.
Je serai, dans mon domaine, le 106e de la liste.
Jusqu’à ce jour et depuis 1901, j’ai honoré 13 Français (à titre individuel). Beaucoup moins que d’Américains (92), d’Anglais (28) ou d’Allemands (20).
Quant à moi, je suis suédois ; mon père s’appelait Alfred et ma sœur « dynamite ».
Une seule fois, on m’a refusé. Sous la contrainte. C’était en 1939 ; le régime nazi avait interdit à ses ressortissants de me recevoir.
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