
Comte-Sponville, vie et réflexionUn penseur chic et classique
Un livre de philo de 544 pages ! De quoi faire peur. Pourtant, ces entretiens d’André Comte-Sponville avec François L’Yvonnet, hypersegmentés en épisodes de sa vie et en moments de réflexion, peuvent se consulter comme un dictionnaire et n’ennuient jamais.
La photo de la couverture de « C’est chose tendre que la vie » retient l’attention. On y voit un monsieur distingué, aux fines lunettes, dont aucun cheveu ne bataille, la chemise discrètement échancrée, le regard vers nous comme s’il était attentif à notre être. Chic et classique à la fois.
Malgré un nom qui sonne aussi très chic, aristo sans particule en somme, l’origine, précise-t-il au début, est très populaire. Des parents commerçants (« marchands de balais », disait son père),...
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