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« Moïse et Aaron » à l’Opéra de ParisSauvé par la musique
26.10.2015
« Moses und Aron », le quatrième et dernier opéra d’Arnold Schönberg (1874-1951), composé entre 1930 et 1932 et laissé inachevé, marque à la fois le début de la saison de l’Opéra de Paris, où on ne l’avait pas vu depuis quarante ans, et le nouveau directorat de Stéphane Lissner.
Une œuvre radicalePhoto shows: J.S. Bou, Sir W.White, B.Hannigan, T.Lehitpuu, R.Shaham, A.Wolf, J...Une œuvre radicalePhoto shows: J.S. Bou, Sir W.White, B.Hannigan, T...Crédit Photo : B. UHLIG/OPÉRA
Entre abstraction et kitschEntre abstraction et kitschCrédit Photo : E. UHLIG/OPÉRASauvé par la musique
By La rédaction
Des effets sophistiquésDes effets sophistiquésCrédit Photo : B. UHLIG/OPÉRA
Plus proche de l’oratorio, par son sujet inspiré de « l’Ancien Testament », que de l’opéra, « Moïse et Aaron » est le testament religieux du compositeur autrichien exilé en Amérique, qui avait renoncé au judaïsme pour se convertir au christianisme méthodiste luthérien, avant d’y revenir à la fin de sa vie. Il en a lui-même composé le livret, qui est assez faible. La musique relève de la théorie atonale sérielle dodécaphonique, inventée par Schönberg et développée avec les autres...
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