Après 55 ans d’exercice au sommet des montagnes, il a son idée pour attirer de jeunes confrères dans ces zones dites défavorisées et pourtant tellement oxygénées ! Il estime que « les solutions à trouver ne sont pas qu’une affaire de murs, clinquants et vacants, à travers les maisons de santé créées ici ou là ». C’est avant tout une question de conditions d’exercice et de valorisation professionnelle et financière. « Exercer en campagne, en montagne, implique des déplacements spécifiques, des gardes et des disponibilités particulières vis-à-vis de patients éloignés des villes et des centres médicaux », précise-t-il. Voué à assister des patients éloignés et isolés, il estime par exemple que les temps de parcours devraient davantage être pris en compte dans le calcul de sa rémunération et celle de ses confrères qui se déplacent sur des chemins souvent tortueux. Des mesures simples, pratiques et pragmatiques qui pourraient aussi ramener des vocations dans les zones abandonnées qui ne sont plus réservées aux aventuriers.
Médecin de campagne et de montagne
Publié le 29/03/2012
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Médecin de campagne
Crédit photo : AFP
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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