
THEATRE - « La Célestine », de Fernando de RojasL’enfant et la sorcière
PEUT-ÊTRE s’est-on toujours fait de « la Célestine » une fausse image. Peut-être n’est-elle en rien cette vieille femme manipulatrice, débrouillarde, habile à jeter des sorts, à confectionner d’étranges breuvages, à refaire des virginités aux jeunes filles coupables. Peut-être y a-t-il en elle une innocence, voire une pureté, que les interprètes, jusqu’à présent, n...
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