
Quelle prise en charge pour les schizophrènes
Les auteurs d'agression sexuelle sont rarement atteints d'une maladie mentale avérée de l'axe I du DSM-IV, mais on note parmi eux une surreprésentation des schizophrènes, avec un risque multiplié par 5. D'un autre côté, distorsions cognitives, défaut d'empathie, trouble des habiletés sociales, voire affectivo-sexuelles, peuvent être observés chez des auteurs d'agression sexuelle non schizophrènes.
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