Les pathologies auto-immunes sont plus fréquentes chez les femmes, ce qui n'est pas seulement lié aux influences hormonales mais à des effets hormono-indépendants du chromosome X, en raison de son grand nombre de gènes.
La ménopause survient plus précocement chez les femmes atteintes de PR et constitue un FR indépendant d'ostéoporose chez les femmes.
L'inflammation systémique, évaluée par le dosage de la CRP, contribue à augmenter les symptômes dépressifs dans la PR.
La majorité des rhumatologues ne se sentent pas compétents pour prescrire les traitements à base de cannabis chez leurs patients.
La cancérogénicité du glyphosate se confirme chez le rat
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