C'est le pourcentage de la population mondiale qui n'a pas suffisamment accès aux tests ou aux services essentiels pour le diagnostic de certaines maladies courantes, comme le diabète, l’hypertension, le VIH et la tuberculose, ainsi qu'aux tests diagnostics de l'hépatite B et de la syphilis pour les femmes enceintes, selon les estimations de la Commission du « Lancet ». Cet état de fait augmente le risque de sous-traitement ou au contraire de surtraitement, alors qu'un meilleur accès au diagnostic permettrait de réduire le nombre de décès prématurés, soulignent les auteurs.
K. A. Fleming et al., Lancet, 2021.DOI:https://doi.org/10.1016/S0140-6736(21)00673-5