Selon un rapport publié par le Réseau environnement santé (RES), la pollution chimique pourrait constituer « un facteur explicatif complémentaire » de l’épidémie d’obésité et de diabète. Le tissu adipeux est un organe « sous contrôle hormonal », « assimilable à une véritable glande endocrine par les nombreux médiateurs actifs qu’il sécrète ». Il est donc « susceptible d’être aussi la cible des perturbateurs endocriniens », explique Gilles Nalbone, directeur de recherche émérite à l’INSERM et membre du RES. Dans son rapport, le réseau constate que la dimension pollution chimique/obésité/diabète n’est prise en compte « dans aucun des plans nationaux de santé publique ». Pour le RES, « agir contre les perturbateurs endocriniens est une piste de prévention de l’obésité et du diabète à explorer d’urgence ».
Obésité : la pollution chimique, une piste à explorer d’urgence
Publié le 15/03/2012
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D. B.
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Source : lequotidiendumedecin.fr
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