Hausses de prestations et de tarifs, lancement du compte pénibilité, interdiction du bisphénol A, suppression de la première tranche d’impôt sur le revenu... : florilège de ce qui a changé au 1er janvier.
• Bisphénol A : interdit dans les contenants alimentaires.
• Paracétamol : le prix maximal de la quasi-totalité des marques de paracétamol, dont le Doliprane, a baissé de 1 centime depuis le 2 janvier, à 1,94 euro par boîte, avant une nouvelle baisse de 4 centimes programmée au 1er novembre.
• Prescription en DCI : mention obligatoire, un effet de la loi sur la sécurité du médicament.
• Le SMIC horaire passe à 9,61 euros bruts (+0,8 %), soit 1 457,52 euros bruts mensuels.
• Plafond de la Sécurité sociale : utilisé pour le calcul de nombreuses cotisations, il augmente de 1,3 %, à 3 170 euros par mois (38 040 euros par an).
• Prestations familiales : les plafonds d’attribution des prestations (allocation rentrée, accueil du jeune enfant...) seront revalorisés de 0,7 %.
• Redevance audiovisuelle : +3 euros (136 euros) en métropole.
• Impôt sur le revenu : suppression de la première tranche, ce qui devrait bénéficier à 6,1 millions de foyers.
• Gazole : hausse de 4 centimes.
• Timbre : hausse historique : +7 % en moyenne
• Rail : les tarifs de la SNCF ont augmenté dès le 31 décembre, jusqu’à 2,6 %.
• Retraites complémentaires : augmentation des taux contractuels obligatoires de cotisation Arrco et Agirc de 0,1 point.
• CSG : 460 000 retraités assujettis à la contribution sociale généralisée (CSG) passeront du taux réduit (3,8 %) au taux normal (6,6 %).
• Compte pénibilité : entrée en vigueur partielle. Il permet aux salariés ayant exercé des métiers pénibles de pouvoir se former, travailler à temps partiel ou partir plus tôt à la retraite.
• Pacte de responsabilité : première étape de la mise en œuvre du dispositif, dont le « zéro charge » au niveau du Smic, une baisse des cotisations pour les travailleurs indépendants et la suppression pour 200 000 entreprises de la C3S, une taxe calculée sur le chiffre d’affaires (qui doit disparaître d’ici à 2017).
• CICE : deuxième étape, portant la baisse du coût du travail de 4 % à 6 % sur les salaires allant jusqu’à 2 800 euros nets par mois (9% dans les DOM).
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